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loi de godwin

Le dispositif de godwin provient d'un énoncé réalisé en 1990 par mike godwin concernant le réseau usenet, et popularisée depuis sur le web : plus une discussion sur internet perdure longtemps, plus la probabilité d'y découvrir une comparaison impliquant les hitlériens ou adolf hitler s'approche de 11. Dans un panel, accéder le point godwin retourne à signifier à son allocutaire qu'il vient de se discréditer en vérifiant la loi de godwin. Ainsi en raison de la polysémie du terme aspect, des points godwin sont de temps en temps réservés à l'unité.

concept
Ce dispositif se base sur l'hypothèse d'après laquelle une débat qui dure peut amener à substituer des argumentations par des comparaisons extrêmes. L'exemple le plus courant correspond à comparer le domaine de la discussion avec une idée nazie ou sinon à traiter son interlocuteur de fasciste ( facho ). En la non présence d'exactitude de mike godwin sur les extensions réalisables, on tergiverse à parler de terme godwin pour une analogie avec tout régime dictatorial autre que le nazisme. Si le sujet de la discussion était loin d'un vague débat idéologique, une comparaison de ce genre est considérée comme un signe d'échec de la discussion. On estime dans ce cas qu'il est temps de fermé le débat, dont il ne sortira plus rien de pertinent : on dit que l'on a atteint le point godwin du débat.



le point godwin dans les supports
Les journaux utilise aussi cette expression. L'analogie, par la race humaine politique yves leterme, de la radio-télévision belge de la communauté française à la radio télé libre des 1 000 collines * cette dernière ayant stimulé le génocide au rwanda fut designée par jean quatremer de point godwin.
En allemagne, l'humoriste harald schmidt a montré le nazometer comme instrument de mesure ; dire autobahn, volkswagen ou gaz dans une émission à télévision donne donc des retombées significatifs.


En france, les comparaisons employées par philippe val, frédéric lefebvre et bernard kouchner furent nommées point godwin dans le sujet d'une parution scandalisé ; en cas de kouchner, les messages évoquaient autant le nazisme que le génocide au rwanda. Ce fut également le cas pour christian estrosi au moment du débat sur l'identité nationale en france.




o'reilly et battelle résument de la manière suivante les principes-clés des logiciels web 2.0 :

Le web comme plate-forme ;
Les informations comme compétences implicites ;
Les effets de réseau entraînés par une structure de participation, l'innovation comme l'assemblage de dispositifs et de médias diffusés et indépendants ;
Des types d'organisation poids plume grâce à la syndication d'actualités et de services ;
La fin du parcours d'adoption des programmes ( la version bêta constante ).




contenu technologique des étiquettes
Contrairement à des termes comme html 2. 01, nommant un système exacte, ou internet2 , le web 2.0 ne dispose pas de définition exacte effectuant consensus.
Les changements qu'il nomme ne résultent pas d'une concertation du world wide web consortium. Du coup, l'interactivité s'est réalisée en superposant de nombreuses strates, tandis qu'ont été abandonnés à leur sort des langages évolués qui auraient permis un web plus riche. Certains informaticiens déplorent cette pagaille qui aboutit à de mauvaises efficacités.