Forum kooora

Les tchattes chater

Le tchatte warseer

En informatique, un forum est un espace de discussion publique. Les débats y sont archivées ce qui permet une relation asynchrone.

Forum bien être







avantage d'une activité au sein d'un forum internet
Une des fonctionnalités principales d'un forum web est son interaction, liée aux nombre de personnes qui s'y énoncent, mais les nombre de personnes qui lisent ces échanges, sans nécessairement réagir, est important.
"de même que la conduite d'une réunion bénéficie fortement de la présence d'un animateur, les forums web sont parfois animés par des modérateurs, afin de stimuler les échanges. Les animateurs sont généralement aussi des températeurs.



formes
Il y a des formes de forum de discussion utilisant l'ensemble des nouvelles techniques des réseaux electroniques :
Les forums de discussion publics : forums de news , disponibles depuis un logiciel de messagerie ;




messagerie instantanée
La messagerie type msn, le dialogue sur le web ou le clavardage ( québécisme ) , aussi nommée par l'anglicisme chat ( bavardage ) francisé en chat en ligne, donne la possibilité l'échange immédiat de contenus textuels entre de nombreux pcs connectés au même réseau, et plus communément celui du web. Contrairement à l'e-mail, ce moyen de communication est caractérisé par le fait que les commentaires s'affichent quasiment en en temps réel et donnent la possibilité une communication interactif.

synonymes et francisation
La messagerie instantanée est généralement nommée sous la dénomination chat. Le nom chat et le verbe chatter sont fréquemment exploités en franglais en vue de nommer la messagerie instantanée. Une orthographe généralement utilisée pour cette prononciation est le coutumier nom masculin tchat, qui est utilisé de manière à ne pas confondre l'articulation avec celle du chat. Beaucoup de forums internet français se servent du ce mot par ailleurs.




Sur le territoire francais, la commission générale de terminologie et de néologie avait d'abord proposé causette en 1997. Elle s'est ravisée durant avril 2006 et propose dorénavant dialogue sur internet avec la définition suivante : discutions entre plusieurs personnes reliées en même temps à un réseau, qui échangent des messages se montrant à chaque instant sur leur écran. Ce terme se trouve dans la base de terminologie de la dglf et obligatoire pour les gestions et services de l'état français, mais ne fut jamais gardé comme équivalent au québec. En réalité, le terme n'est pas entré en utilisation. Par exemple, il est inexistant du portail de gouvernemental de la france, au bénéfice du terme chat.



le point godwin dans les supports
Les journaux emploie aussi cette expression. L'analogie, par la race humaine politique yves leterme, de la radio-télévision belge de la communauté française à la radio télé libre des mille collines * celle-ci ayant stimulé le génocide au rwanda fut designée par jean quatremer de point godwin.
En allemagne, l'humoriste harald schmidt a montré le nazometer comme instrument de mesure ; dire autobahn, volkswagen ou gaz dans une émission de télé offre ainsi des retombées significatifs.


Les sites internet 2.0 offrent la possibilité aux usagers de faire encore nettement plus que d'en ôter du message. En grandissant ce qui était déjà possible de composer avec le web 1.0, ils apportent aux usagers de nouvelles outil de gestions et de nouveaux programmes electroniques. Les utilisateurs sont capables de à présent emmener des données aux médias web 2.0 et avoir l'accès sur certaines données.




enjeux économiques
à la suite des revenus réalisés par la nouvelle économie, le web 2.0 a permis l'enrichissement rapide de quelques entreprises , comme cela fut le cas lors de la première transmission du web. Donc l'instaurateur de facebook, mark zuckerberg, est aujourd'hui milliardaire à 23 ans.

Toutefois beaucoup s'étaient préoccupés du risque d'apparition d'une bulle 2.0 semblable à la 1ere bulle internet. Le blog techcrunch ( premier blogue de la liste a5 fit même un post indiquant le décès du web 2.0, la tombe indiquant 2004-2008. Mais à l'opposé de ce qui s'est déroulé pour la première bulle web, cette fois les occupations internet ne sont pas derrière la crise de 2008.