forme des forums de discussions
Cet emplacement de contact et d'échange qu'est le forum web est un site web en soit, ou simplement un de ses constituants. Il offre les mêmes occasions de discussion que les forums usenet, mais sous l'expression et à l'échelle d'un site web. Ils sont accessibles via un navigateur internet, et offrent une interaction passionnante.

Un forum web est surtout un site d'échange, par le biais de propos, que ces derniers soient accessibles sur le web ou bien sur un réseau interne telque un intranet ou encore un extranet. Les débats y prennent place sous l'expression de flux de discussions , à publication instantanée ou retardée ; cette édition est communément durable, car les messages ne sont pas effacés. Elle est de nature le fait de plusieurs auteurs. Dans certains forums internet à inscription, les propos sont modifiables a posteriori par leurs auteurs.




association des débats et des propos
Le tous les débats sont souvent consultables par ses collaborants, et éventuellement par les adhérents du forum internet ou encore par tous les individus sur internet.

La plupart des forums de discussion sont animés en fils de discussion et affichés avec une indentation. Voir un exemple de fil de discussion : indentation & technologies de communication. Un message initial démarre un flux. Ensuite, chaque nouveau message à ce fil implicitement chronologique ouvre un nouveau fil de débat, en qualité de réplique à un propos antérieur. Les indentations et sujets des commentaires visualisent les cursus de lecture réalisables, sous l'apparence d'un arbre, à l'instar d'un gestionnaire de fichiers organisé en répertoires et sous-répertoires.



Tous ces fils d'iscussions sont fréquemment regroupés par thématique, un même forum web en mesure d'accueillir beaucoup de thèmes , voire de nombreux regroupements de thèmes.



campagne publicitaire
Plusieurs forums sont des forums de campagne publicitaire, dont le but est d'aider à croitre la fréquentation des forums de discussion que l'on y montre.


loi de godwin

Le dispositif de godwin vient d'un énoncé réalisé en 1990 par mike godwin relatif au réseau usenet, et généralisée depuis sur internet : plus une discussion sur internet dure longtemps, plus la chance d'y découvrir une comparaison impliquant les hitlériens ou adolf hitler s'approche d'onze. Dans une table ronde, atteindre le point godwin retourne à signifier à son interlocuteur qu'il vient de se décréditer en vérifiant la loi de godwin. Par extension, du fait de la polysémie du terme terme, des points godwin sont de temps en temps destinés à l'unité.

concept
Cette loi s'appuie sur l'hypothèse selon laquelle une discussion qui dure peut amener à subroger des arguments par des comparaisons hors de propos. L'exemple le plus communs correspond à comparer le sujet du débat avec une idée nazie ou sinon à traiter son allocutaire de nazi. En l'absence de finesse de mike godwin sur les extensions possibles, on hésite à parler de terme godwin pour une comparaison avec toute dictature autre que le nazisme. Si l'objet de la discussion était éloigné d'un quelconque débat d'idées, une analogie de ce genre est considérée comme un signe d'échec de la discussion. On considère dans ce cas que c'est le moment de clore la discussion, dont il ne sortira plus rien de pertinent : on dit que l'on a touché le point godwin du débat.



le point godwin dans les médias
Les journaux emploie aussi cette expression. La comparaison, par l'homme politique yves leterme, de la radio-télévision belge de la communauté française à la radio télévision libre des 1 000 collines * celle-ci ayant stimulé l'ethnocide au rwanda fut designée par jean quatremer de point godwin.
En allemagne, l'humoriste harald schmidt a montré le nazometer comme instrument de mesure ; dire autobahn, volkswagen ou gaz au sein d'une émission à télévision offre ainsi des retombées significatifs.

De manière globale, la théorie hadopi a provoqué de nombreux points godwin aussi bien vers ses défenseurs que vis à vis de l'attitude des pourfendeurs, maxime le forestier, roschdy zem, christophe lameignère le dirigeant du snep.





rs

La première et conséquente évolution vers le web 2.0 a été la syndication du contenu, employant des protocoles standardisés permettant aux utilisateurs d'utiliser des informations d'un site dans un autre sujet traité, variant d'un différent site internet à l'add-on d'un navigateur, ou même d'une appli de bureautique détachée. Ces protocoles comprennent rss, rdf et atom. Tous sont basés sur le codage xml. Des protocole s particularisés tels que foaf et xfn étendent les fonctionnalités des médias et permettent aux utilisateurs d'entrer en interaction de façon décentralisée. Voir les microformats pour des formats de messages plus spécialisés.

Ce phénomène bottom-up fait qu'énormément de ces protocole s deviennent des standards de facto plutôt que des règles.



contenu technologique des tags
Contrairement à des termes comme html 2. 01, nommant une technologie exacte, ou internet2 , le web2 ne dispose pas de définition précise effectuant consensus.
Les évolutions qu'il désigne ne résultent pas d'une concertation du world wide web consortium. En conséquence, l'interaction s'est effectuée en superposant de nombreuses couches, alors qu'ont été délaissés des langages évolués qui auraient permis un web plus fastueux. Beaucoup d'informaticiens regrettent cette pagaille qui aboutit à de désagréables efficacités.

Benjamin bayart a dénoncé le fait que la teneur du web 2.0 est nettement plus centralisé par des administrations que ce que donne la possibilité internet. à la limite, cela ne correspond plus d'un réseau en arantèle , mais en star. Par dérision, il suggére d'appeler minitel 2.0 ce que les médias appellent web2.0.

tags ; un mot d'autant plus marketing
Les médias spécialisés ont été pris de rapidité par l'utilisation du terme web2.0 avant de l'employer eux-mêmes. Ils remarquent que de nombreux aspects faisaient d'internet 2.0 comme m. Jourdain faisait de la prose, avant que la promotion n'dicte ce terme. ça fait du terme un buzzword utilisé fréquemment abusivement.