Dans le monde de l'informatique, un forum est une zone de débat publique. Les débats y sont sauvegardées ce qui offre une relation asynchrone ( c'est ce qui différencie les forums de la messagerie instantanée ). Le terme forum de discussion est un pléonasme. Forum est un terme d'origine du latin nommant une place de la commune spécifique au débat et au négoce.

On centralise à présent sous cette thématique usenet qui existait préalablement à l'apparition d'internet, et les forums internet qui ont suivi la création du web énergique. On pourra également reconnaitre les listes de distribution à base de courrier électronique comme se trouvant des forums de discussions.




organisation des débats et des messages
L'ensemble des débats sont généralement visibles par ses collaborants, et éventuellement par les adhérents du forum web ou même par tous les gens sur internet.

La majorité des forums sont animés en flux de discussion et affichés avec une indentation. Voir un exemple de fil de messages : indentation & technologies de communication. Un message de départ commence un flux. Ensuite, chaque nouveau message à ce flux sous-entendu chronologique ouvre un nouveau fil de discussion, en qualité de réponse à un message précédent. Les indentations et sujets des propos visualisent les parcours de lecture possibles, sous forme d'un arbre, à l'instar d'un gestionnaire de documents animé en répertoires et sous-répertoires.


On différencie ainsi deux opportunités de publication : une stratégie chronologique, où chaque message est au même niveau et n'implique que suivre ou devancer un autre commentaire chronologiquement ; une technique hiérarchique, où chaque message est vu comme une réaction à un commentaire antérieur.



les forums audio ;
Les micro-forums, adaptation simplifiée des forums internet traditionnel.



messagerie instantanée
La messagerie instantanée, le dialogue sur internet ou le clavardage ( québécisme ) , également nommée par l'anglicisme chat ( bavardage ) francisé en tchat, permet l'échange instantané d'opinions textuels entre plusieurs ordinateurs reliés au même réseau, et plus généralement celui d'internet. à l'opposé du courrier électronique, ce moyen de communication est défini par le fait que les commentaires s'affichent en quasi-temps-réel et offrent la possibilité une communication interactif.

équivalents et francisation
La messagerie instantanée est communément désignée sous le nom chat. Le nom chat et le verbe chatter sont généralement utilisés en franglais pour nommer la messagerie instantanée. Une écriture fréquemment exploitée pour cette prononciation est le fréquent nom masculin tchat en direct, qui est utilisé de façon à ne pas confondre l'articulation avec celle du chat ( l'animal ). Plusieurs forums internet francophone utilisent ce terme d'ailleurs.


L'office québécois de la langue française a soumis, durant octobre 1997, le terme clavardage crée de clavier et de bavardage , entré dans le dictionnaire. Ce terme est bien entendu l'unique synonyme francophone pour désigner la messagerie type msn au canada. Cependant, les mots bavardage-clavier et cyberbavardage ( aussi proposés par l'oqlf ) , donc que bavardage sur internet, sont des synonymes acceptés.







rs

La première et importante évolution vers le web 2.0 a été la syndication de contenu, employant des protocoles communs permettant aux usagers de faire usage des informations d'un site dans un autre contexte, variant entre un autre site internet au plugin d'un navigateur, ou même d'un logiciel de bureau détachée. Ces protocoles saisissent rss, rdf ( comme dans rs 1.1 ) et atom. Tous sont fondés sur le codage xml. Des protocole s particularisés comme foaf et xfn augmentent les caractéristiques des médias et donnent la possibilité aux utilisateurs d'interagir de manière décentralisée. Voir les microformats pour des tailles d'informations plus spécialisés.




contenu technologique des mots clés
Contrairement à des aspects comme html 2. 01, nommant un système précise, ou internet2 , le web2.0 n'a pas de signification précise effectuant consensus.
Les évolutions qu'il nomme ne résultent pas d'une concertation du world wide web consortium. Du coup, l'interactivité s'est effectuée en superposant plusieurs couches, alors qu'ont été abandonnés à leur sort des langages avancés qui auraient permis un web plus prospère. Certains informaticiens regrettent cette pagaille qui aboutit à de mauvaises performances.

Benjamin bayart a dénoncé le fait que la teneur du web2.0 est bien plus centralisé par des institutions que ce que permet internet. à la limite, cela ne correspond plus d'un réseau en toile d'araignée , mais en star. Par dérision, il suggére d'appeler minitel 2.0 ce que les journaux appellent web2.0.

tags ; un mot d'autant plus marketing
Les médias particularisés ont été pris de rapidité par l'emploi du mot web2 avant de l'employer eux-mêmes. Ils remarquent que beaucoup d'aspects faisaient du web 2.0 comme monsieur jourdain faisait de la prose, avant que la promotion n'impose ses règle. ça fait du mot un buzzword utilisé généralement de façon abusive.

En résumé, pour ces informaticiens, le terme web2.0 serait le mieux du monde un terme commun pour une compilation de développements concernant un peu plus les usages que les stratégiques ( donc relevant plus de la sociologie que de l'informatique ).