Forum de discussion quebecois

Forum tchat sans inscription

Forum internet free


forme des forums web ce lieu de rencontre et de relation qu'est le forum web est un site web à part entière, ou de facon simple un de ses composants.

Forum web tchat en ligne




nature des forums internet
Ce lieu de rencontre et d'échange qu'est le forum web est un site internet en soit, ou de manière simple un de ses composants. Il donne les mêmes opportunités de débat que les forums usenet, mais sous l'apparence et à l'échelle d'un site internet. Ils sont accessibles via un navigateur internet, et offrent une interactivité passionnante.

Un forum internet est avant tout un site d'échange, au travers des propos, que ceux-là soient accessibles sur internet ou bien sur un réseau à l'intérieur telque un intranet ou même un extranet. Les discussions y prennent place sous l'apparence de flux de messages, à édition instantanée ou différée ; cette publication est fréquemment durable, car les commentaires ne sont pas supprimés. Elle est de nature le principe de beaucoup auteurs. Dans beaucoup de forums à inscription, les propos sont modifiables a posteriori par leurs auteurs.


Historiquement parlant, le forum web est une des plus anciennes applications disponibles sur l'internet, et l'une des plus utilisées. Parmi les forums se sont développés des us et coutumes, des comportements générationnelles et des légendes. L'imposante variété des types techniques du forum web attestent de sa vivacité intrinsèque comme vecteur médiatique moderne, planétarisé.


les forums audio ( sur teamspeak ) ;
Les micro-forums, adaptation facilitée des forums web traditionnel.



messagerie instantanée
La messagerie instantanée, le dialogue sur le web ou le clavardage ( québécisme ) , également désignée par l'anglicisme chat ( bavardage ) francisé en tchat en direct, donne la possibilité l'échange instantané du contenu textuels entre plusieurs pcs connectés au même réseau informatique, et plus généralement celui d'internet. Contrairement à l'email, ce moyen de communication est défini par le fait que les messages se montrent en quasi temps réel et offrent la possibilité un dialogue interactif.



L'office québécois de la langue de molière a soumis, au cours d'octobre 1997, le terme clavardage crée de clavier et de bavardage , inséré dans le dictionnaire. Ce mot étant le seul équivalent francophone en vue de nommer la messagerie instantanée au québec. Néanmoins, les termes bavardage-clavier et cyberbavardage , ainsi que bavardage sur internet, sont des synonymes acceptés.


En france, la commission générale de terminologie et de néologie avait d'abord proposé causette en 1997. Elle a changée d'avis en avril 2006 et propose à l'avenir dialogue en ligne avec la définition suivante : discutions entre de nombreux personnes reliées en même temps à un réseau, qui transmettent des messages s'affichant à tout moment aux écrans. Ce mot se trouve dans le point de départ de terminologie de la dglf et obligatoire pour les administrations et services de l'état français, mais n'a pas été retenu comme équivalent au québec. En pratique, l'expression n'est pas entré en usage. Entre autres, il est inexistant du site d'institutionnel de la république française, au bénéfice du terme chat.



L'abréviation im du sigle anglo-saxon instant messaging est quelquefois utilisée, également imp pour instant messaging and presence.

On utilise parfois webchat, afin de spécifier que la discution se fasse sur une page web ( comme yahoo. Groupes ).
Godwin, ou bien dessiner un point en art ascii, comme se cela corresponsait à un écrit créé noir sur blanc. Beaucoup de contributeurs additionnent par dérision que ledit point devrait être divisé sur l'écran au recours d'un burin et d'un marteau. Hors des discussions bornées au texte, l'aspect ascii demeure usitée, mais d'autres formes sont utilisées, du smiley à la médaille.


le point godwin dans les forums web
Le point godwin, qui a au départ le sens de limite dans le signification anglaise du terme stade de non-retour est à présent dans les forums de discussion une sorte de détestable note, de mauvais point. Donc, un participant pourra donner à un autre un point godwin si celui-ci laisse un commentaire vérifiant la loi de godwin. Le collaborant receveur du point est bien entendu en général convié à le couper de l'écran de son ordinateur, à la masse et au burin.
racine du mot web2

Le terme a été médiatisée au cours d'août 2003 par dale dougherty de la société o'reilly media lors d'une conversation avec craig cline de medialive en vue de préparer une conférence. Il a suggéré que le web était dans une epoque de renaissance ou évolution, avec un changement de courants de pensée et une évolution des catégories de société. Dougherty a offert des ex au lieu de définitions : doubleclick, c'était le web 1.0. Google adsense, il s'agit du web2. Ofoto, c'était le web 1.0. Flickr, il s'agit du web2. , et recruté john battelle. Puis, o'reilly media, battelle et medialive ont lancé la 1ere conférence web 2.0 au cours d'octobre 2006. La seconde conférence annuelle a eu lieu durant octobre 2007.



but financiers
à la suite des gains apportés par la nouvelle économie, le web2.0 à donné la possibilité de l'enrichissement directe de quelques entreprises , comme cela avait été le cas lors de la 1ere diffusion du web. Donc l'instaurateur de facebook, mark zuckerberg, est maintenant milliardaire à 23 ans.

Néanmoins certains s'étaient tourmentés du danger d'apparition d'une bulle 2.0 semblable à la 1ere bulle web. Le blog techcrunch ( 1er blogue de la liste a5 fit même un post indiquant le décès du web 2.0, la tombe disant 2004-2008. Mais à l'opposé de ce qui a eu lieu pour la première bulle web, cette fois les activités internet ne sont pas derrière la crise de 2008.
tags ; un terme d'autant plus marketing
Les journalistes particularisés ont été pris de court par l'utilisation du mot web2 avant de l'employer eux-mêmes. Ils notent que plusieurs acteurs faisaient d'internet 2.0 comme monsieur jourdain faisait de la prose, avant que la promotion n'impose ses règle. Cela fait du terme un buzzword exploité communément abusivement.

Dans les grandes lignes, aux yeux de ces informaticiens, le terme web2.0 serait le mieux du monde un terme commun pour une collection de développements concernant davantage les manières de vivre que les techniques.